Les paupières absorbent comme du papier buvard les mots qui se marient soudain au détour d'une page puis, enveloppés de l'obscurité nécessaire, renaissent en une polychromie d'encres. Un chant nouveau s'élève alors et, patiné des souffles anciens, trace des signes sur le sable.
1 commentaire:
belles traces, très belles traces
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