Quand on ne sait plus, face à l'opacité de la transparence dont on n'a plus le mot de passe. Seul demeure l'éclat d'un instant, réifié par la puissance du souvenir, dont les mots balbutient un semblant de transmission. On ajoute des couleurs, on glisse un peu de lumière afin d'enraciner la suspension du temps ressentie, de l'étirer et de la dilater jusqu'à la fascination.
2 commentaires:
Celle là je te la prend, comme si j'avais piqué un Monet
la suspension du temps
... tout à fait ça !
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