J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

vendredi 26 octobre 2012

fascination

Quand on ne sait plus, face à l'opacité de la transparence dont on n'a plus le mot de passe. Seul demeure l'éclat d'un instant, réifié par la puissance du souvenir, dont les mots balbutient un semblant de transmission. On ajoute des couleurs, on glisse un peu de lumière afin d'enraciner la suspension du temps ressentie, de l'étirer et de la dilater jusqu'à la fascination.

2 commentaires:

jieffebi a dit…

Celle là je te la prend, comme si j'avais piqué un Monet

Patrick Lucas a dit…

la suspension du temps
... tout à fait ça !