J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

vendredi 6 février 2015

du vide



















dans le jour lapidé de blancheur et l'instant en suspens, prendre le temps de ce rien ponctuant le temps entre œil et main . rester dans le creux de son pas, la voix tremblante à fixer un peu d'éternité. se tenir là dans ce vide presque impossible à croire.

3 commentaires:

mémoire du silence a dit…

et pourtant si plein

Yanis Petros a dit…

le rien n'existe pas
il n'y a que du vide
plein de sens

:-)

Marty a dit…

ressentir le vide et pouvoir s'y recentrer : quel luxe