J'avance, avec de l'ombre sur les épaules. ( André Du Bouchet)

lundi 6 avril 2015

souffle coloré


à la lisière d'une lueur chaque poème  tenterait de donner ce surcroît d'être nécessaire à toute vie, tenterait de porter secours à ce sentiment de solitude où l'on se tient reclus.  il faut ces sortes d'appels aigus , ces tessons de lumière qui traversent la banalité du jour pour affronter le monde . poser la main sur l'éclatement de la lumière dormante.

1 commentaire:

estourelle a dit…

un poème comme un signe clignotant appelant sans cesse pour faire voir l'autre versant du cristal