bordures raidies d’amidon
d’autrefois, dentelle entortillée repliée en elle-même – tenir
entre mes doigts ce qui se nomme peut-être feston ( je n’ai pas le
vocabulaire des couturières) – tenter de déplier, étirer,
redonner forme – s’apercevoir que cela ne fait pas tout le tour
de l’ouvrage mais se situe juste sur l’avant du bonnet , de la
coiffe – une sorte de visière – il y a trois tranches, niveaux,
épaisseurs sur cette avancée, froncées avec un trou sur le tissu
de la plus haute – à l’arrière une petite bande de tissu
étroite sans doute pour ajuster la taille et resserrer la coiffe
pour qu’elle s’ajuste à la circonférence de la tête – se
dire que tout ça devrait être repassé et recousu – ne pas en
voir l’utilité maintenant – cette coiffe, enfermée depuis près
de cent ans dans un sac serré au fond d’une armoire scellée dans
un mur y retournera…
Atelier d'été Tiers-livre consigne "5 fois sur le métier" (jour 2)
à suivre ....
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